Pourquoi choisir un chien LOF
Les différents types d'élevage peuvent vous proposer d'acquérir des chiots inscrits au LOF (livre des origines française) ou non. En revanche, les eleveurs selectionneurs vous porposerons toujours des chiots inscrits au LOF.
En achetant un chiot inscrit au LOF, vous avez la garantie que votre chiot correspond à ce que vous cherchez tant sur le plan physique que comportemental, que ses parents ont été confirmés par un juge et qu'ils correspondent aux caractéristiques de la race. De plus, le certificat de naissance detaillant la généalogie de votre chiot sur 5 générations démontre notamment qu'il n'y a pas eu de consanguinité rapporchée, pouvant induire des maladies.
Comment douter que le bien-être des chiens et l’intérêt de la clientèle soient mieux défendus chez l’éleveur professionnel inscrivant au LOF, et notamment chez le titulaire d’un affixe, qui joue sa réputation sur la qualité de ses chiots ?
Certes, il existe sans doute dans le lot quelques margoulins, comme dans toute activité humaine, mais ceux-là ne durent guèrent. Pour mieux appréhender le travail de l’éleveur, dressons brièvement la liste des contraintes auxquelles il se soumet, et qui constituent sa déontologie.
- La sélection la plus élémentaire des géniteurs, sur le plan morphologique et comportemental, s’opère déjà par le biais de la confirmation qui rejette tout sujet non conforme ou agressif, pour les spécimens importés de pays ne tenant pas de livres d’origines, la confirmation à titre initial se montre extrêmement sélective.
- Il y a en outre les directives particulières des clubs de races : radiographies, examens, efforts d’éradication des tares héréditaires, sans compter la prohibition généralisée de faire reproduire une chienne trop jeune ou trop vieille, ou à chaque période de chaleurs durant toute sa carrière. Donc, pas d’élevage « en batterie » ni de surexploitation des femelles.
- Un éleveur est soumis aux visites annuelles des services vétérinaires départementaux.
- Le détenteur d’un affixe est contrôlé par la Société Centrale Canine, qui vérifie qu’il ne vend pas, parallèlement à sa production officielle, de chiots non inscrits au LOF, en utilisant des géniteurs refusés à la confirmation (et donc de moindre qualité).
- Un éleveur se doit de vendre des chiots identifiés et vaccinés, correctement sevrés, vermifugés, déparasité. Mais il a aussi le souci de les sociabiliser pour que les acquéreurs obtiennent un sujet équilibré et agréable. Étant fondamentalement un passionné, s’il cherche naturellement à rentabiliser son activité, il ne considère pas pour autant ses chiots comme une simple marchandise : il a le souci de délivrer un maximum d’informations aux personnes intéressées, et prend en compte le devenir du chiot ; il sait que la bonne adéquation entre la nature profonde du sujet proposé et le mode de vie des propriétaires est la meilleure prévention de l’abandon.
- L’éleveur assure un suivi et reste une inépuisable source de conseils pour les familles.
On voit qu’une moralisation des transactions portant sur les chiens passent par un immense travail de promotion du chien de race, que la majorité du grand public, par simple manque d’informations, méconnaît totalement. Il y a maintenant obligation de mentionner sur les petites annonces et publicités l’inscription ou la non inscription à un livre d’origines. Ce n’est guère suffisant, au vu de l’ignorance abyssale de monsieur tout le monde sur les notions de LOF et de pedigree, qui conduit à l’acquisition majoritaire de chiens qui en sont dépourvus. Beaucoup de gens qui s’attachent malgré tout à acquérir une race précise, n’ont tout simplement pas assez d’éléments pour apprécier l’utilité de l’inscription au Livre des Origines Français, ils peuvent même éventuellement s’en méfier, se référant aux poncifs du genre « le chien à pedigree est fragile ». Au mieux, on entend couramment que le pedigree, « c’est pour les éleveurs ».
L’effort d’information doit donc porter sur le concept même de race, en faisant comprendre que seul un chien LOF dont on peut prouver les origines par les documents officiels, peut prétendre être un chien de race, doté des critères morphologiques et comportementaux conformes à la race en question.
Pas d’issue hors de la diffusion de cette notion. L’appellation « pure race » est mensongère si elle se réfère à un chien non LOF car depuis le 1er janvier 2009 les chiens sans pedigree doivent être vendu sous la mention « chien d’apparence » . Soyez donc vigilant!
En achetant un chiot inscrit au LOF, vous avez la garantie que votre chiot correspond à ce que vous cherchez tant sur le plan physique que comportemental, que ses parents ont été confirmés par un juge et qu'ils correspondent aux caractéristiques de la race. De plus, le certificat de naissance detaillant la généalogie de votre chiot sur 5 générations démontre notamment qu'il n'y a pas eu de consanguinité rapporchée, pouvant induire des maladies.
Comment douter que le bien-être des chiens et l’intérêt de la clientèle soient mieux défendus chez l’éleveur professionnel inscrivant au LOF, et notamment chez le titulaire d’un affixe, qui joue sa réputation sur la qualité de ses chiots ?
Certes, il existe sans doute dans le lot quelques margoulins, comme dans toute activité humaine, mais ceux-là ne durent guèrent. Pour mieux appréhender le travail de l’éleveur, dressons brièvement la liste des contraintes auxquelles il se soumet, et qui constituent sa déontologie.
- La sélection la plus élémentaire des géniteurs, sur le plan morphologique et comportemental, s’opère déjà par le biais de la confirmation qui rejette tout sujet non conforme ou agressif, pour les spécimens importés de pays ne tenant pas de livres d’origines, la confirmation à titre initial se montre extrêmement sélective.
- Il y a en outre les directives particulières des clubs de races : radiographies, examens, efforts d’éradication des tares héréditaires, sans compter la prohibition généralisée de faire reproduire une chienne trop jeune ou trop vieille, ou à chaque période de chaleurs durant toute sa carrière. Donc, pas d’élevage « en batterie » ni de surexploitation des femelles.
- Un éleveur est soumis aux visites annuelles des services vétérinaires départementaux.
- Le détenteur d’un affixe est contrôlé par la Société Centrale Canine, qui vérifie qu’il ne vend pas, parallèlement à sa production officielle, de chiots non inscrits au LOF, en utilisant des géniteurs refusés à la confirmation (et donc de moindre qualité).
- Un éleveur se doit de vendre des chiots identifiés et vaccinés, correctement sevrés, vermifugés, déparasité. Mais il a aussi le souci de les sociabiliser pour que les acquéreurs obtiennent un sujet équilibré et agréable. Étant fondamentalement un passionné, s’il cherche naturellement à rentabiliser son activité, il ne considère pas pour autant ses chiots comme une simple marchandise : il a le souci de délivrer un maximum d’informations aux personnes intéressées, et prend en compte le devenir du chiot ; il sait que la bonne adéquation entre la nature profonde du sujet proposé et le mode de vie des propriétaires est la meilleure prévention de l’abandon.
- L’éleveur assure un suivi et reste une inépuisable source de conseils pour les familles.
On voit qu’une moralisation des transactions portant sur les chiens passent par un immense travail de promotion du chien de race, que la majorité du grand public, par simple manque d’informations, méconnaît totalement. Il y a maintenant obligation de mentionner sur les petites annonces et publicités l’inscription ou la non inscription à un livre d’origines. Ce n’est guère suffisant, au vu de l’ignorance abyssale de monsieur tout le monde sur les notions de LOF et de pedigree, qui conduit à l’acquisition majoritaire de chiens qui en sont dépourvus. Beaucoup de gens qui s’attachent malgré tout à acquérir une race précise, n’ont tout simplement pas assez d’éléments pour apprécier l’utilité de l’inscription au Livre des Origines Français, ils peuvent même éventuellement s’en méfier, se référant aux poncifs du genre « le chien à pedigree est fragile ». Au mieux, on entend couramment que le pedigree, « c’est pour les éleveurs ».
L’effort d’information doit donc porter sur le concept même de race, en faisant comprendre que seul un chien LOF dont on peut prouver les origines par les documents officiels, peut prétendre être un chien de race, doté des critères morphologiques et comportementaux conformes à la race en question.
Pas d’issue hors de la diffusion de cette notion. L’appellation « pure race » est mensongère si elle se réfère à un chien non LOF car depuis le 1er janvier 2009 les chiens sans pedigree doivent être vendu sous la mention « chien d’apparence » . Soyez donc vigilant!